Demande de permis de construire RE2020 : erreurs à éviter absolument
Vous êtes sur le point de déposer votre permis de construire et appréhendez les exigences de la RE2020 ? Sachez que chaque année, de nombreux projets subissent des retards de plusieurs mois et des surcoûts de 10 à 20% en raison d'erreurs fréquentes mais évitables. Nous vous présentons ici les cinq principales erreurs à éviter - celles qui font grimper les coûts, retardent le dépôt du permis et allongent la durée des travaux -, ainsi que les solutions pour sécuriser votre dossier dès le départ.
RE2020 et permis de construire : un dépôt à sécuriser
Pour réussir votre demande de permis, une préparation minutieuse est indispensable dès la conception des premiers plans. Un dossier incomplet ou incohérent entraîne systématiquement un délai d'instruction de six à huit semaines minimum, avec des conséquences financières immédiates. Nous rencontrons régulièrement des porteurs de projet qui réalisent trop tard qu'une étude RE2020 négligée peut compromettre tout le planning de travaux et faire exploser le budget.
Étude et attestation à ne pas oublier
Lancer votre étude thermique RE2020 dès la phase d'esquisse vous évitera des modifications coûteuses sur l'orientation du bâtiment, la surface vitrée ou le système de chauffage. Ceux qui attendent la finalisation des plans constatent souvent un surcoût de 10 à 20% pour revoir l'isolation, la ventilation ou les équipements. Faire intervenir un thermicien RGE dès l'Avant-Projet Sommaire permet de valider les choix techniques avant le dépôt du permis.
- Attestation PCMI 14-1 obligatoire : ce document, établi par le thermicien ou l'architecte, atteste la conformité RE2020. Son absence entraîne un refus systématique du service urbanisme.
- Comparaison des solutions énergétiques : étudier au moins quatre scénarios différents (enveloppe du bâtiment, chauffage, photovoltaïque, ventilation) pour optimiser vos choix techniques.
- Anticiper les délais d'étude : solliciter un expert en dernière minute double généralement les honoraires et retarde le démarrage du chantier.
Nombreux sont les dossiers qui confondent encore les exigences thermiques classiques avec les nouveaux indicateurs RE2020 (Bbio, Cep, Cep,nr ou DH). Cette confusion génère des recalculs successifs avec les services d'urbanisme et peut aboutir à un refus. Exemple concret : une maison dont l'absence d'étude RE2020 a entraîné une demande de pièces complémentaires, l'obligation d'installer une pompe à chaleur et des panneaux photovoltaïques, soit 15 000 € de surcoût et trois mois de retard.
Plans et rapport RE2020 cohérents
La parfaite cohérence entre vos plans architecturaux, la Surface de Référence Thermique et le rapport RE2020 est essentielle pour l'instruction du dossier. Nous vérifions systématiquement l'exacte correspondance entre les surfaces, les menuiseries, l'épaisseur des isolants et les données techniques transmises. La moindre divergence déclenche des aller-retours administratifs, rallonge le délai d'obtention de l'attestation PCMI et augmente le coût des travaux.
L'étude de faisabilité des solutions énergétiques reste obligatoire pour les constructions autres que les maisons individuelles et doit comparer au moins quatre options techniques. Son absence entraîne soit un refus, soit une demande de complément qui retarde l'ensemble du projet. Préparer une checklist RE2020 complète (attestations de dépôt, exports logiciels, fiches techniques, Carnet d'Information du Logement) est le meilleur moyen de garantir le respect des exigences.
Les documents finaux comme l'attestation d'achèvement et le Carnet d'Information du Logement conditionnent la conformité du bâtiment et sa mise en service. Une gestion approximative de ces éléments peut bloquer la réception des travaux et retarder votre emménagement. Nous établissons donc un calendrier précis pour chaque étape afin d'éviter tout dépassement de budget ou de délai.
Erreurs courantes à éviter dès le dépôt
L'omission de l'attestation PCMI 14-1 ou de la notice RSEE bloque immédiatement l'instruction de votre permis. Utiliser les modèles officiels signés par votre bureau d'études ou architecte vous évitera des semaines de retard et des frais supplémentaires. Cette simple précaution protégera votre budget et votre planning.
Déposer des plans incompatibles avec les exigences énergétiques impose des modifications techniques coûteuses. Certains Plans Locaux d'Urbanisme (PLU) imposent des matériaux spécifiques (pierre, tuiles...) qui impactent l'isolation et le bilan thermique. Nous vérifions toujours la cohérence entre vos choix architecturaux, le PLU et l'étude RE2020 pour éviter un éventuel permis modificatif.
Une mauvaise coordination entre architecte, thermicien et entreprises augmente les risques d'erreurs et de modifications en cours de chantier. Des réunions régulières dès l'Avant-Projet Sommaire permettent d'harmoniser plans détaillés, nomenclatures et fiches techniques. Cette méthode garantit le respect du budget, des délais et la réussite de votre projet de maison.
Plan bas carbone RE2020 : erreurs courantes à éviter
La réglementation environnementale 2020 impose une évaluation minutieuse de l'impact carbone sur un cycle de 50 ans à travers les indicateurs ICconstruction et ICénergie. Notre équipe démarre la simulation d'ACV carbone dès l'Avant-Projet Sommaire, comparant différentes options : béton traditionnel, structures en bois massif, panneaux CLT, isolants biosourcés et bétons à faible empreinte carbone. Cette approche proactive permet de choisir en connaissance de cause avant le lancement des appels d'offres, évitant ainsi des changements coûteux en dernière minute.
Matériaux et équipements bas carbone
Le choix anticipé de matériaux et équipements peu carbonés garantit le respect des exigences de la norme RE2020. Sachant que ces seuils deviendront plus stricts en 2025, 2028 et 2031, l'anticipation est cruciale. Nous étudions systématiquement les combinaisons bois-béton, les isolants d'origine végétale et les bétons recyclés pour optimiser l'ICconstruction. Les fluides frigorigènes à faible potentiel de réchauffement global (comme le R32 ou R290) sont privilégiés dans nos conceptions de pompes à chaleur.
Une erreur courante à éviter : ne pas sous-estimer l'influence des réseaux d'eau chaude sanitaire et de climatisation sur le bilan carbone. Dès les premières esquisses, nous travaillons sur la longueur des conduites, l'épaisseur de l'isolation et les équipements annexes pour minimiser les déperditions thermiques. Cette méthode réduit les coûts d'exploitation tout en assurant une parfaite conformité à la RE2020.
FDES PEP et données par défaut
La vérification systématique de chaque FDES PEP est essentielle pour maîtriser l'ICconstruction et rester dans les limites de la réglementation environnementale 2020. L'utilisation inconsidérée de données par défaut trop conservatrices peut engendrer des surcoûts importants et retarder le projet. C'est pourquoi nous validons chaque fiche technique auprès des fabricants, garantissant ainsi la fiabilité des calculs, l'exactitude du bilan carbone final et la régularité du dossier de permis.
Confort d'été RE2020 : erreurs courantes à éviter
L'indicateur confort d'été (DH) mesure les pé>riodes d'inconfort thermique en degrés-heures, avec un seuil réglementaire généralement fixé à 1 250 h·°C. Sous-estimer cette exigence peut entraîner des non-conformités coûteuses, obligeant à ajouter des protections solaires, à augmenter l'inertie ou, pire, à installer un système de climatisation non prévu au départ. Notre approche consiste à intégrer l'analyse DH dès la conception pour éviter des modifications ultérieures qui alourdiraient le prix du projet et retarderaient les travaux de plusieurs semaines.
DH et protections solaires
Respecter le seuil DH nécessite une combinaison judicieuse de protections solaires actives et passives, adaptées à chaque orientation de façade. Nous concevons des systèmes sur mesure - brise-soleil orientables, casquettes, stores extérieurs - en fonction de l'exposition (Sud, Ouest ou Est). Cette précision dans le plan évite les corrections de dernière minute sur les façades, qui représentent en moyenne 5% de surcoût et près d'un mois de délai supplémentaire.
Dans les régions méditerranéennes, la gestion des surfaces vitrées demande une attention particulière. Un manque de protection peut faire exploser l'indicateur DH. Par exemple, sur un chantier récent, une façade sud-ouest non protégée a atteint 1 720 DH, obligeant le maître d'ouvrage à ajouter des brise-soleil et à modifier des menuiseries. Résultat : 5% de budget en plus et un mois de retard - des erreurs courantes qu'une étude thermique précoce (STD) aurait permis d'éviter.
Inertie et vitrages bien dimensionnés
Une bonne inertie thermique, obtenue grâce à des planchers et murs pleins, permet de réguler naturellement la température et de réduire le DH. Nous privilégions des solutions comme les dalles béton, murs en pierre ou briques de terre cuite qui emmagasinent la fraîcheur nocturne pour la restituer le jour. Cette stratégie passive, combinée à des protections solaires adaptées, limite le recours à la climatisation, optimise le Cep et réduit les coûts d'exploitation à long terme pour votre maison.
Le choix des vitrages est tout aussi crucial. En dimensionnant précisément leur taille selon l'orientation et en sélectionnant des modèles à contrôle solaire renforcé, nous préservons la luminosité naturelle tout en évitant la surchauffe. Cette approche permet de maîtriser le coût global de votre projet de construction tout en garantissant un confort optimal.
STD avant dépôt du permis
Il est essentiel de réaliser une Simulation Thermique Dynamique (STD) dès que la géométrie du bâtiment est définie, et ce avant le dépôt du permis. Cette étude précise simule le comportement thermique heure par heure, identifiant tout risque de dépassement du seuil DH. Nous recommandons systématiquement cette étude pour les bâtiments tertiaires, les logements collectifs et toute maison fortement exposée au soleil.
Négliger le confort d'été dans les premières phases de conception conduit souvent à devoir ajouter une pompe à chaleur réversible en catastrophe. Cette correction impacte négativement le Cep, l'ICénergie, le coût initial et les charges d'exploitation. Dès l'esquisse, nous combinons stratégies passives et actives pour respecter les règles RE2020, éviter ces erreurs courantes, et garantir le respect des délais et du budget prévus.
Maison RE2020 : planifier les systèmes à ne pas improviser
Les solutions de chauffage et la performance de l'isolation conditionnent directement la conformité RE2020 et le budget total de votre projet. Nous comparons systématiquement au moins quatre options pour le chauffage, la ventilation, l'eau chaude et les énergies renouvelables. Cette démarche permet de valider les indicateurs Bbio, Cep et Cep,nr en amont, évitant ainsi des changements de systèmes en cours de chantier qui génèrent des surcoûts et des retards.
Bbio, Cep et enveloppe performante
Opter par défaut pour une chaudière à énergie fossile, sans analyse préalable, risque de compromettre la conformité Cep,nr et d'imposer un passage coûteux à une pompe à chaleur en urgence. Nous réalisons donc une étude détaillée des systèmes dès l'avant-projet sommaire (APS) pour garantir l'adéquation entre les besoins bioclimatiques et les solutions techniques retenues. Cette anticipation facilite l'obtention du permis de construire en excluant tout besoin de corrections ultérieures.
Un Bbio sous-estimé dû à une isolation insuffisante, des fenêtres mal choisies ou une forme du bâtiment non optimale entraîne inévitablement des travaux correctifs en cours de chantier. Nous constatons fréquemment des majorations de 10 à 15% sur les coûts du gros œuvre quand l'isolation doit être renforcée a posteriori. Optimiser l'enveloppe dès la conception permet d'atteindre un Bbio confortable tout en évitant des adaptations onéreuses une fois le chantier commencé.
PAC, ENR et auxiliaires bien anticipés
Intégrer dès le départ les consommations des auxiliaires (ventilation, pompes, régulation) dans vos calculs Bbio et Cep est essentiel pour éviter des erreurs d'évaluation. Nous incluons ces équipements dans les plans d'exécution pour refléter précisément leur impact énergétique. Cette rigueur garantit un Cep conforme excluant tout ajustement de dernière minute qui retarderait le dépôt de votre permis de construire.
Une estimation réaliste du potentiel d'énergies renouvelables (photovoltaïque, solaire thermique, biomasse) assure le respect des indicateurs Cep et IC. Nos simulations prennent en compte tous les paramètres concrets : orientation, ombrages et rendements réels. Cette approche évite les surestimations fréquentes qui conduisent à des non-conformités coûteuses et retardent l'instruction de votre demande de permis.
Étanchéité à l'air et réseaux
Une étanchéité négligée mène immanquablement à un échec au test d'infiltrométrie, imposant des retouches sur les joints et gaines. Nous programmons ce test dès le planning initial et guidons les entreprises sur les points critiques. Cette vigilance préventive respecte les exigences de la RE2020 en excluant des interventions d'urgence très coûteuses.
Le dimensionnement précoce des réseaux (eau chaude sanitaire, chauffage) incluant longueurs et isolations réduit significativement les déperditions thermiques. Nos tracés optimisés rapprochent production et points d'usage tout en respectant les contraintes architecturales et d'urbanisme pour maximiser performance énergétique et confort, sans surcoût.
Enfin, vérifier la compatibilité des équipements avec le PLU et les ABF (esthétique, bruit, implantation) évite tout refus de permis. Notre pré-sélection des PAC, panneaux solaires et VMC intègre ces contraintes pour garantir l'acceptation de votre dossier. Cette synergie entre performance thermique et règles d'urbanisme assure un permis de construire obtenu sans modification ultérieure.
Urbanisme et permis de construire : erreurs courantes à éviter
Les règles d'urbanisme et de patrimoine influencent directement vos choix techniques et le respect des normes RE2020. Nous analysons systématiquement la conformité entre le plan local d'urbanisme, les exigences de l'ABF et vos objectifs énergétiques avant toute validation définitive des plans. Cette anticipation permet d'éviter des retards coûteux liés à des permis modificatifs, à de nouvelles études thermiques et à une augmentation du coût total de votre projet de construction.
PLU, ABF et compatibilité technique
Prendre en compte dès le départ les contraintes du PLU et de l'ABF concernant les matériaux, les couleurs et les solutions énergétiques accélère l'obtention de votre permis. En zone protégée par exemple, l'obligation d'utiliser certains matériaux peut impacter directement votre isolation et vos performances thermiques. C'est pourquoi, dès l'étude préliminaire, nous prévoyons différentes options techniques pour éviter un éventuel refus et réduire les délais.
- Matériaux spécifiques : certaines communes imposent des tuiles traditionnelles, des bardages en pierre ou des enduits particuliers qui nécessitent des solutions d'isolation adaptées pour concilier performance énergétique et respect du cadre bâti.
- Énergies renouvelables : dans certains secteurs, l'ABF peut interdire les panneaux solaires visibles ou exiger une intégration complexe, ce qui influe sur votre bilan carbone et votre budget.
- Délais administratifs : prévoyez toujours 1 à 2 mois supplémentaires pour les consultations externes (ABF, Architectes des Bâtiments de France...) afin d'intégrer tranquillement d'éventuelles demandes de modifications.
Toute modification de plans après le dépôt du permis (orientation, emprise au sol, ouvertures...) entraîne généralement un permis modificatif, une nouvelle étude RE2020 et des retards dans votre planning travaux. Suite à une expérience récente, nous avons constaté que ces ajustements pouvaient retarder le chantier de 3 mois et augmenter significativement votre budget. Une bonne préparation initiale est donc cruciale.
Périmètre et dates d'application
Il est essentiel de bien comprendre le champ d'application de la RE2020 en fonction du type de bâtiment et de la date de dépôt de votre permis. Depuis 2022, cette réglementation s'applique aux logements, puis progressivement aux bureaux et établissements scolaires, avec des règles spécifiques pour les extensions. Notre équipe vérifie systématiquement ces critères lors de l'étude pour constituer un dossier complet et éviter les demandes de compléments.
Attention : les DOM-TOM suivent la réglementation RTAA-DOM et non la RE2020. Les exigences techniques et administratives y sont complètement différentes. Nous adaptons donc notre accompagnement pour garantir la conformité de votre projet et le respect des délais.
Coordination et planning de dépôt
Une check-list partagée entre architecte, bureau d'étude et entreprises est indispensable pour maîtriser votre budget et vos délais. Dès les premières esquisses (APS), nous organisons des points réguliers pour valider les plans, les matériaux et les fiches techniques. Cette rigueur permet de constituer un dossier solide et d'accélérer l'instruction de votre demande de permis.
Ne négligez pas l'affichage réglementaire de votre permis sur le terrain ! Un défaut à ce niveau peut entraîner des recours et bloquer votre chantier plusieurs mois. Nous vous guidons dans cette formalité souvent sous-estimée mais cruciale.
Enfin, anticipez dès maintenant les futures évolutions de la RE2020 (seuils plus stricts prévus pour 2025 et 2028) pour garantir la pérennité de votre projet. Nous intégrons déjà ces paramètres dans nos études pour vous éviter des mauvaises surprises et des travaux correctifs onéreux.
Foire aux questions
Si votre projet ne respecte pas la RE2020, vous risquez principalement un refus de permis de construire. Dans les cas où l'anomalie est découverte après le début des travaux, cela peut entraîner leur arrêt immédiat. Les sanctions financières peuvent s'élever à plusieurs milliers d'euros, sans compter que les corrections techniques nécessaires augmentent le coût global de 10 à 20%, ce qui impacte fortement votre budget de construction.
Certains chantiers que nous avons suivis ont subi des retards de plusieurs mois pour absence d'attestation conforme, bloquant ainsi l'occupation ou la revente du bâtiment. Ces situations engagent la responsabilité des professionnels impliqués et génèrent souvent des contentieux juridiques qui allongent les délais et déséquilibrent financièrement l'ensemble des acteurs du projet.
Les administrations acceptent généralement des écarts mineurs (moins de 2%) sur les surfaces déclarées. Cependant, elles sont intransigeantes sur les éléments clés comme l'attestation RE2020. Une différence de plus de 5% sur la Surface de Référence Thermique par rapport aux plans entraîne systématiquement une demande de corrections, ce qui retarde l'instruction de 6 à 8 semaines.
Pour éviter ces complications, veillez à ce que tous vos documents (plans, descriptifs et étude thermique) soient parfaitement cohérents avant le dépôt. Les erreurs fréquentes portent souvent sur l'isolation, les menuiseries ou le système de chauffage - ces éléments doivent être rigoureusement identiques dans chaque pièce du dossier pour une instruction rapide et sans surcoût.
Pour garantir le respect de la RE2020, intégrez un bureau d'étude thermique certifié RGE dès la phase de conception. Ce professionnel réalisera les simulations nécessaires (Bbio, Cep, etc.) avant la finalisation des plans. Nous conseillons de comparer au moins 4 solutions énergétiques différentes, d'optimiser l'enveloppe du bâtiment et de choisir des matériaux bas carbone avant le dépôt du permis.
Cette approche collaborative entre architecte, thermicien et entreprises permet de valider les choix techniques en amont, d'éviter les modifications onéreuses pendant les travaux et de respecter les délais. Des points réguliers assurent la conformité de chaque document, jusqu'à l'obtention de l'attestation finale, pour un projet de construction abouti dans les règles et sans mauvaises surprises.
Articles similaires
Éclairage RE2020 : guide complet pour respecter la réglementation
Découvrez les exigences d'éclairage de la réglementation environnementale RE2020 : calcul du Bbio, surfaces vitrées obligatoires et solutions conformes.
Ic construction re2020 : comment calculer l'impact carbone du bâtiment
Guide pratique de l'ic construction re2020 : méthode de calcul de l'impact carbone, seuils réglementaires 2025-2028 pour bâtiment neuf et conseils de conformité.